Maria

Nom:

Inconnue

Prénom:

Maria

Age(pas plus de 600 ans sauf exeption...rare):

Physiquement 19 ans

Race:

Vampire

Clan:

Malkavien

Secte:

Anarch

Physique:

Maria est une jeune femme ravissante. De son air angélique, elle fait succombé, n'importe qui sous son charme...
Habillée en robe noir de bonne
qualité, la peau pâle, des yeux de biche effarouchée, un regard assasine...
Son apparence
fragile cache soigneusement une fine musculature.

Elle parais toute fragile, elle se sens presque toujours patraque,
mal en point, et pourtant, sous cette apparence extrêmement vulnérable,
Maria possède une résistance dont elle n'a pas toujours conscience elle-même.
Si elle peut descendre très bas, glisser tout au fond du gouffre, elle a également l'art de remonter la pente, même si cela doit prendre du temps. Ainsi, au moment où ces ennemis là croient au plus mal, voilà qu'elle renaît de ses cendres !

Morale:

Elle est surtout très insouciante, et innocente. Chez Maria tout n'est que sensation, inspiration, et il est toujours difficile d'expliquer rationnellement ses perceptions confuses. Pour elle, un rêve, une utopie sont aussi réels que ce que d'autres appellent la réalité tangible. Elle aime aussi rendre service et faire plaisir à tous ceux qui l'entourent.
Elle est plutôt timide, et sa timidité lui joue souvent bien des mauvais tours. Mais son coeur tendre est un des précieux dons que la nature lui a accordés : elle éprouve facilement de la sympathie et de la commisération pour les faibles, les infortunés, les délaissés, les opprimés, et les malheureux.
Elle est sensible à toutes choses, même à ce que personne d'autre ne perçoit : la couleur du temps, la chaleur humaine, la qualité d'une ambiance... En fait, elle sent plus qu'elle ne pense: l'intuition la guide à travers la vie. Elle est continuellement baignée par le monde extérieur autant que plongée dans son univers intérieur. C'est pourquoi son rapport à la réalité est si difficile.
Lorsque qu'elle est confrontée à des problèmes, elle aime généralement pas les prendre à bras-le-corps pour les résoudre, mais elle préfère leur opposer une résistance faite d'esquives, de disparitions, de fuites dans un monde imaginaire où personne ne pourra la suivre.
On arrive très difficilement à la convaincre par des arguments, mais très facilement par le coeur et les sens. Elle est, en effet, prête à beaucoup de concessions pour obtenir l'attention, la protection, les caresses, la complicité du coeur, qui ont tant de prix pour elle.
En société, on trouve en elle un être au charme extrême, avec le mystère de l'insaisissable. Très crédule, avec des états d'âme changeants, voire farfelus, elle se laisse prendre facilement aux apparences. Ses tendances sont plus mystiques ou imaginatives que pratiques. Son existence est jalonnée de rencontres providentielles et d'événements imprévus.

Histoire:

Maria est née en 1931 dans le Biot, juste à côté des Antilles...
Il y'a la mer vu de sa fenêtre, les montagnes avec leur neige éternelle...

Son plus grand rêve était de participer à un raylle tout comme avait fait sa mère. Elle avait alors 17 ans le jour de son premier rallye. Elle venait de s'inscrire pour celui de Paris-Antibes-Juans les Pins avec sa mère qui la soutenait sur la Rosengart paternelle. 960km à réaliser en 1 étape .
Maria a fait une longue carrière en rallyes et des tentatives de records sur piste.
Elle remporta trophées sur trophés...

Puis en 1935, sa mère mourra d'un accident de voiture, elle chuta dans une dépression nerveuse, puis sombra dans la drogue. Elle deviens toxicomane a 24 ans.
Tout ses proches l'on aider à sans sortir. Elle rentra dans une cure de désintoxe a 25 ans. C'est là ou les médecins ont découvert qu'elle avait une tumeur au cerveau, et non une dépression nerveuse...
Le temps de la soigner, son était était déjà sérieusement grave. Elle avait presque voir aucune chance de sans sortir.
Jusqu'au jour ou un vampire frappa a sa porte !

Très mourante, entre la vie et la mort, elle était couché là, sur son lit d'hôpital. Un valeureux jeune homme, a été attendris, face à sa détresse... Et tomba amoureux... Il a prit dans ses bras, elle lui donna le don eternelle...

Depuis se jour, elle bénie ciel et terre du cadeau qu'on lui a fait. Elle devient la femme de son maître, le coup de foudre n'a pas ses raisons, mais ce coup de foudre là, lui a sans doute sauver la vie...

Son temps, elle le consacre au aide humanitaire ainsi qu'à la recherche de sa nature vampirique.

Elle écrit une lettre juste après sa naissance vampirique:

On m'a sauvé d'un destin cruel... On m'a délivré de mon âme dechus... Ce que j'ai ressentis ? Un peu d'amour dans se monde de brute... Et quand mon maître à croquer ses dent contre ma chair, j'ai sentis la chaleur et le réconfort brûler et s'emparer de tout mon corps !

Comme un enfant qui me prendrait dans ses bras pour me protéger du mal... (pleure) ...

"Telle une petite fille regardant avec une douceur attentive le milieu des
feuilles, le vent qui passe et murmure entres les branches au fond des
jardins!
J'étais imbibée d'une fibre poétique qui tissait mes souvenirs et mes voeux
futurs !! Je m'y forçais pour faire calmer le temps et demeurer ainsi
jusqu'à la porte de l'éternité !
A l'intérieur, juste à coté du coeur, un rêve palpitait parfois de toute son
ampleur, mais une main se posa brusque et froide sur mes lèvres
fiévreuses et abandonnées.
Quel bien être cela me faisait, de ne plus avoir à cacher larmes et vérités,
de lancer mon regard vers le plus loin des horizons, vers la volonté
d'aimer sans limites comme on aime un regret ! Un regret qui naît d'un
soupir, d'une joie difficile ou d'un bonheur avorté !
Telle une petite fille écoutant sans comprendre, les fleurs qui parlent; les
étoiles qui défilent, et les nuages qui sourient !! Un voile opaque
couvrait de temps à autre mes yeux faisant de moi la femme dénudée de
liberté. La chaîne en cristal qui ligotait mes pieds faisait plus de bruit
que de cicatrices mais m'empêchait tout de même d'avancer …
Je courais, je courais, vers une ouverture dans la brume fuyant un vide
intime qui interdisait le partage, rampant jusqu'à perdre connaissance
vers un frisson, une respiration, ou une odeur que tout mon corps
reconnaîtra !!!
Un rire aigu, ironique me bourdonnait les oreilles, est-ce au comptant
qu'il faut payer ? Est-ce maintenant qu'il faut passer aux aveux, et est-ce
devant tous ces arbres que je suis obligée de jurer ?
La nuit, le silence, la petite fille dormait, fermant derrière elle le ciel à
double tour ne laissant qu'une petite passerelle à peine entrouverte
permettant à l'air de pouvoir passer ..."