Une longue discution.

Toujours suivit de Tykem, Aldébarane traversa le hall richement décoré de l'hotel, un petit coup d'oeil menaçant sur la réceptionniste et ils s'engouffrèrent dans l'ascenceur. Et bientôt, la Prévot invita l'Ancien a s'assoir sur l'un des deux fauteuil recouvert de velour qui tronaient dans le salon. En attendant, elle sortit une petite clé de sa poche et l'introduisit dans une serrure dissimuler dérrière un panneau de bois. Une série de bip ce fit entendre, elle appuya sur un bouton et de lourds volets mécaniques descendirent le long des fenetres, les rendant totalement hermétiques. Puis, elle ce laissa choir à son tour dans un fauteuil, en tailleur.

-J'ai payer une fortune pour cette installation, mais la sécurité n'a pas de prix n'esce pas ?


fit-elle en souriant.

Elle fit la moue.

-Peu de système sont sur a cent pour cent, jusqu'ici je n'ai eu aucuns problèmes. Toutes les portes sont vérouillées, les fenetres aussi, sans compter qu'elle sont blindées, plus le panneau de métal qui descent le long des portes d'entrée. Les aérations sont, elles aussi, cloitrées...Je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus. Apart avoir une hordes de goules bien sur, du genre 1m90, 100 kg de muscles bien sur, et vous connaissez mon point de vue a ce sujet.

Elle posa les coudes sur les accoudoirs.

-Cependant, je n'ai pratiquement pas d'ennemis, donc je ne crains pas grand chose ici. Logiquement, ces appartements sont inaccéssible en journée, je vous laisse imagine les bruits qui cours sur l'occupante de la suite Florence !

Ajouta-t-elle rieuse.

Elle haussa un sourcil narquois.

-Non, c'est fort peu probable, mes appartements occupe un étage entier, mais les autres.. ! Honnetement, même moi, je suis pas sure que je pourrais rentrer....Quoique...Enfin toujours est-il que j'ai fait ce que j'ai pus dans l'urgence. Dites moi, que voyez vous comme failles ?

Elle pencha la tête sur le côté, elle était sure qu'il avait repérer quelques lacunes.

-Je vous retourne la question.

dit-elle en souriant a demi.

Elle s'adossa confortablement a son dossier.

-Dites moi ce qu'il vous interresse. Ma vie, ma mort, n'ont pas grand interet, mais soit.

Les cheveux rapidement ramener en torsade sur une épaule, elle attendait, les yeux brillant d'amusement.

Aldébarane réfléchit quelques instants.

-Comme je vous l'ai dis, je suis née a coté de Florence, en l'an de grâce 1462. Et oui, je me souviens de mon année de naissance. Marrant non ? Que dire de plus ? J'ai reçut une éducation des plus sommaires à mon gout, couture, danse, musique...Il n'y avait que la musique d'interressant en fait.

Elle eut un petit rire.

-Puis on m'a fiancer, parcours classique jusque là n'esce pas ? Le mariage, les enfants, un domaine a tenir, la joie de toutes jeunes filles de l'époque.

Elle ce tut, souriante a des souvenirs lointains.

Elle leva le regard sur lui, une étincelle rieuse dans les yeux.

-Non. Disons que si j'avais été d'accord pour unir ma vie à un gros porc mal embouché peut être, mais ce fut pas le cas. J'étais une mauvaise fille voyez vous. Il était près a payer une fortune, allez savoir pourquoi d'ailleurs, ma propre famille n'était pas des plus fortunée, titrée certes, mais pas riche. Je suis l'unique enfant, enfin j'étais. Ils comptaient tous plus ou moins sur moi. Et comme je n'était pas disposée a leur obeir, ils n'ont pas aprrécier.

Vous vous etes donc pas marier ?

Tykem avait un peu de mal a suivre pour une fois ,a croire qu'il y avait qq chose quil nallait pas . Il répéta une de ses phrases :

"Puis on m'a fiancer, parcours classique jusque là n'esce pas ? Le mariage, les enfants, un domaine a tenir, la joie de toutes jeunes filles de l'époque."

Donc vous avez eu des enfants ou vous vous etes rebélé ? ce n'est pas clair tout ca.

Elle sourit.

-Oui, mais je n'était pas comme toutes les jeunes filles de l'époque. C'était de l'ironie. Sérieusement, vous me voyez marier ? A l'époque non, moi, je ne me voyais pas marier. C'est curieux comme je garde un souvenir presque trait pour trait de ce gros sagouin. A croire qu'il a dut me marquer plus que je ne le pensais.

Elle soupira avec amusement.

-Alors oui, je me suis rebellée. Je n'ai jamais été facile, mais là ce fut le pom pom !

Elle sourit, ce demandant si réellement cela l'interressait.

-Et bien ma rebellion c'est solder par une fuite. Direction Florence, en pleine essor culturel ! Je dois dire que je garde un souvenir presque heureux de cette époque. Mais j'étais une fille, seule et sans soutiens dans une grande ville ronger par le vice. Alors je me suis débrouiller. J'ai intégré une bande de malfrat. Peu à peu, j'ai suplanter le second. Inutile de vous dire de quoi nous vivions. Je dois dire que j'ai quelque peu perdut la main, mais à l'époque je pouvais ouvrir tout et n'importe quoi.

Elle pouffa.

-Enfin, que disais je, ah oui ! Donc, j'ai suplanter le second, je n'avais pas le choix, je devais me faire respecter, donc je l'ai éliminer. Ce que je ne savais pas, c'était que j'était observée, de loin. Pourquoi ? encore aujourd'hui, je n'en ai aucune idée.

Elle haussa une épaule, a vrai dire, elle c'était aussi poser cette question, peu après lorsqu'elle voulut en savoir plus.

-Je sais, enfin je l'ai su par la suite, mais allez savoir Ariella était...était quelqu'un de vraiment hors des critères, je ne saurais l'expliquer. Mais j'étais croyante, même fervente pratiquante, mes croyances se sont dissoutent par la suite.

Elle poussa un soupir.

-Enfin, ça a durer un moment ainsi, j'en étais arriver à un point où je menait la danse. Sous couvert de Stefano. Les hommes sont si crédules parfois. Et puis, je fut ratrapper.

Elle haussa un sourcil narquois.

-Seriez vous moqueur ?

Un sourire aux lèvres, elle continua :

-Donc je fut ratrapper. Ma famille avait payer hors de prix des mercenaires pour me ramener, je valais mon pesant d'or parait-il. On ma ramener de force, on ma matter, si je puis dire ainsi, je suis restée enfermée...Mmmh..Je ne sais plus exactement, enfin, un long moment, je me souviens que je comptais les lever de soleil. Les derniere fois où je pu admirer le ciel ensoleillé, ce fut dérrière des barreaux. Et elle est venut me chercher. Elle m'a mis le marché en main, je l'ai accepter. Vous voyez rien de bien passionnant au final.

-Non. Elle a toujours esquiver cette question, un point commun avec vous d'ailleurs. Par la suite, elle m'a intégré dans sa propre bande si je puis dire ainsi. Ariella était une femme influente, très influente même. Capacité a jouer sur tout les tableaux m'a toujours laisser sans voix ! Je suis plus franche pour ma part.

avoua-t-elle avec une petite moue.

-Elle m'a apris à tuer aussi, rapidement, mais ce n'est pas ma spécialité. Je lui ai servit de bras droit durant toute sa vie.

ajouta-t-elle.